historique: année 2018


vue aérienne de ma ville prise du nord-est en 2018

vue aérienne de ma ville prise du sud-est en 2018

vue aérienne de ma ville prise du sud-ouest en 2018

vue aérienne de ma ville prise du nord-ouest en 2018

 

les événements marquants de l'année 2018

Quand l’année 2018 commença, j’étais loin d’imaginer, après toutes les transformations que je venais de vivre en 2017, qu’il pût encore se passer grand-chose lors des mois à venir. Je me trompais. Dès les premiers jours de la nouvelle année, je pris la décision d’augmenter considérablement le nombre de mes immeubles de bureaux de petite taille quitte à supprimer, pour leur céder du terrain, quelques gratte-ciels superflus ou disgracieux. J’en avais déjà construit un bon nombre au cours de l’année passée mais le résultat n’était pas à la hauteur de mes espérances. Certaines parties de l’hypercentre étaient toujours exclusivement constituées de gratte-ciels, ce qui me semblait exagéré, et, dans les zones jouxtant les quartiers d’affaires, le passage des tours de grande élévation aux immeubles d’habitation de petite taille était beaucoup trop brusque. Tout ceci ne me semblant pas très réaliste, je voulus que les transitions fussent plus graduelles. Aussi, me lançai-je dans la construction d’une centaine d’immeubles de bureaux comptant en moyenne une quinzaine d’étages. J’implantai la majorité d’entre eux le long de l’avenue de la Liberté, menant de la gare du Nord au Grand-hôtel et traversant une zone en pleins travaux depuis 2016, et dans le quartier délimité par le Grand-hôtel et l’avenue de la Libération. C’est ainsi que mon hôpital, qui était encore hébergé dans un gratte-ciel, se transforma en un vaste complexe hospitalier constitué de plusieurs bâtiments dont le plus élevé se vit flanqué d’une gigantesque croix rouge mesurant 23 mètres de diamètre. Manquant cruellement de minibriques translucides dont j’aime bien me servir pour suggérer la succession des étages, j’entrepris de me rabattre sur mes petites dalles gris clair en surnombre, celles que j’avais commandées l’année précédente pour réaliser mes trottoirs et mes cheminements piétonniers et les fis alterner avec des plaques plus foncées, noires ou gris foncé. Pour réaliser ce vaste programme de construction, je détruisis un grand nombre d’immeubles d’habitation et ce fut ainsi, qu’à l’instar de la plupart des métropoles du monde entier, je fis subir à mon centre-ville tous les méfaits de la tertiarisation et de son corollaire, l’embourgeoisement (ou gentrification pour les péteux) reléguant les plus démunis aux confins de mon agglomération grandissante. Je me consolai en me disant que ma ville gagnait en réalisme ce qu’elle perdait en convivialité. Pour la première fois depuis sa création, je connus, lors de cette opération, les contraintes du cadastre parcellaire notamment lorsque je souhaitais substituer un immeuble à un autre, mais je m’aperçus avec étonnement que cet exercice favorisait l’inventivité et qu’en somme il ne me déplaisait pas. Il faut dire que je m’étais jusqu’alors contenté, dans l’immense majorité des cas, de placer mes immeubles à l’endroit le plus adéquat et n’avais jamais construit sur mesure pour une parcelle déterminée.

Si, pour la première année depuis sa création, le nombre de gratte-ciels n’augmenta pas dans ma ville, ce ne fut pas faute d’en avoir construit mais plutôt pour en avoir détruit un nombre équivalent. Parmi mes nouvelles créations, il figure un gratte-ciel inspiré de la tour Cepsa à Madrid qui me plut tant, ce qui n’arrive pas si souvent, que je le répliquai immédiatement en quatre exemplaires, comme je l’avais déjà fait l’année précédente pour le gratte-ciel inspiré de la tour Metlife à la Nouvelle-Yorque. Je reconnais qu’il n’est pas très réaliste qu’une ville soit dotée de plusieurs exemplaires d’un même gratte-ciel mais je me rassure en pensant à certains jeux de simulation urbanistique comme cities skyline ou simcity, que je trouve au demeurant excellents, où le même immeuble n’apparaît pas trois ou quatre fois mais des centaines de fois pour peu que la ville dont on gère le développement prenne de l’ampleur.

Je me résolus par ailleurs à me délivrer de mon obsessionnelle fixation pour la symétrie et m’efforçai, tant que faire se put, d’introduire des décrochements asymétriques dans chacune de mes nouvelles constructions. Je considère avoir à ce jour réalisé quelques progrès en la matière mais, soyons lucides, je reste encore à des années-lumière des prouesses du déconstructivisme ou de l’architecture organique que je trouve parfois très réussies mais qui, à mon échelle, continuent de me paraître irréalisables.  

Cette première opération terminée, du moins pour lors, je m’attaquai à la réfection des «dinosaures», ces gratte-ciels de grande élévation et aux nombreux décrochements s’inspirant de l’architecture art-déco des années 20 et 30. Ils comptent parmi les premiers gratte-ciels de ma ville et se trouvent tous, de ce fait, dans l’hypercentre. Dans un système privilégiant le nombre pair (la brique la plus répandue en légotique mesure quatre tenons sur deux et je ne crois pas qu’il y ait des briques de trois tenons sur trois), ces gratte-ciels reposant tous sur une base impaire, dans le but initial de réaliser un étagement régulier jusqu’au tenon central, étaient souvent constitués de bric et de broc et menaçaient de s’écrouler à la moindre secousse sismique. Ayant amassé avec les années de plus en plus de pièces de toute sorte, j’entrepris de les stabiliser et de surélever les plus réussis d’entre eux, d’une part, pour les mettre en valeur et, d’autre part, pour mieux marquer la silhouette de ma ville. J’introduisis pour certains d’entre eux une seconde couleur comme s’ils étaient composés de deux blocs monolithiques de teinte différente s’imbriquant l’un dans l’autre et le résultat ne me déplut pas.

Parmi les dinosaures que je viens d’évoquer, figurent aussi les tyrannosaures, ces dix-huit gratte-ciels staliniens (ils n’étaient alors en 2018 qu’au nombre de dix-sept) disséminés dans toute la ville et abritant les institutions les plus diverses comme la préfecture de police, les Archives nationales, l’université, l’hôtel de ville, la siège de la Télévision Publique Nationale, l’Académie des sciences, le Conseil d’état, l’Académie des beaux-arts, la Cour des comptes trois hôtels et six ministères (économie, finances, plan, intérieur, éducation, transports). Étant alors tous construits sur le modèle de l’hôtel Ukraine à Moscou, ils se ressemblaient énormément, ce qui avait fini par me déplaire. Lorsqu’en 2017, j’avais reconstruit l’université, le plus grand d’entre eux, en m’inspirant du Palais de la culture et des sciences à Varsovie, je m’étais rendu compte que le résultat était très réussi et avais décidé de m’attaquer à ses petits frères dès que je le pourrais, ce que je finis par entreprendre en 2018. Et c’est ainsi que je fis revêtir des formes plus variées à dix autres de ces tyrannosaures. Deux d’entre eux furent même pourvus de salles plénières coiffées de coupoles grises ou noires qui continuent de me plaire aujourd’hui.

Enfin, et ce fut la dernière opération de grande ampleur menée au cours de cette année 2018, je refis tous mes édifices publics de proximité : les groupes scolaires, les centres multiservices, les maisons de retraite et les supermarchés, ce qui représentait alors une bonne centaine de bâtiments. Les anciennes constructions, toutes bâties en mode unidirectionnel et coiffées de toits rouges avaient fini par me paraître trop rudimentaires et j’envisageais depuis longtemps de les transformer. Je finis par opter, d’une part, pour le mode bidirectionnel, ce qui me permit de couvrir partiellement les façades de grilles blanches et, d’autre part, pour des toitures noires ou gris foncé, ce qui permet encore de repérer facilement ces édifices puisque les immeubles d’habitation alentour sont généralement coiffés de gris clair ou de beige foncé.

L’année 2018 se termina en beauté par le salon du jeu et des activités ludiques de Rostock qui se tint comme tous les ans au début du mois de novembre. Comme en 2017, ce fut deux semaines avant le début du salon que je reçus tout un lot de briques que j’avais commandées l’année précédente avec les membres de mon association de légobâtisseurs. Parmi les pièces livrées se trouvaient quinze nouvelles plaques de base que j’attendais impatiemment pour augmenter la surface de ma ville, souhaitant la faire passer de 49 plaques de base (soit 7 plaques sur 7 pour une largeur de 2,66 mètres et une superficie de 7,1 m2) à 64 plaques de base (soit 8 plaques sur 8 pour une largeur de 3,04 mètres et une superficie de 9,2 m2). Je sus dès leur réception qu’il était illusoire d’imaginer que j’aurais le temps, en deux semaines, d’achever les travaux d’agrandissement que je m’étais assignés mais je parvins tout de même à bâtir sept d’entre elles qui vinrent se greffer à l’ouest de ma ville dont l’aire totale passa de 7,1 m2 à 8,1 m2, gagnant ainsi un tout petit mètre carré pour des heures et des heures de travaux réalisés, comme il fallait s’y attendre, dans la plus grande frénésie. J’avais décidé depuis longtemps que ces nouvelles zones périphériques seraient dépourvues de gratte-ciels et je m’y tins. J’y construisis au nord-ouest, il fallait bien reloger tous les malheureux que j’avais expulsés lors de mon ambitieux programme d’édification de nouvelles zones tertiaires, un grand ensemble à l’habitat ouvert, comme on en trouve dans toutes les banlieues du monde. Ce fut l’occasion d’introduire un nouveau prototype d’immeuble d’habitation (BH3 pour les barres et TH3 pour les tours) érigé en mode bidirectionnel, de dix étages pour les barres et de vingt étages pour les tours, dont les cages d’escalier grises légèrement proéminentes et les façades couvertes horizontalement de grilles blanches suggérant de longues enfilades de balcons continuent de me plaire aujourd’hui. Malheureusement, manquant alors de grilles blanches, je ne parvins pas à en fabriquer plus d’une soixantaine.

À l’ouest, entre les voies ferrées menant à la gare de l’Ouest et la ligne C du métro, je bâtis une nouvelle centrale électrique, des ateliers de maintenance et des usines. Estimant que ma nouvelle centrale électrique avec ses deux bandes latérales rouge foncé et ses cheminées à double conduit était beaucoup plus réussie que sa petite sœur se situant à l’autre bout de la ville, je reconstruisis cette dernière et la pourvus des mêmes attributs. Étant tombé quelques temps plus tard en parcourant la cybérie sur une maquette de la centrale nucléaire de Tchernobyl réalisée à la même échelle que la mienne et constituée d’un enchevêtrement très réaliste de bâtiments, de hangars, de grues, de passerelles et de canalisations, je me rendis compte que mes zones industrielles étaient beaucoup trop proprettes et me promis d’y réfléchir. C’est d’ailleurs la critique majeure que l’on pourrait m’adresser et certains me l’ont déjà faite à mots couverts : ma ville manque, d’une part, d’audace, d’ingéniosité et de ces trouvailles qui confèrent du réalisme à toute maquette et pèche, d’autre part, par son excès d’ordonnance et de symétrie, ces deux points ne me surprenant pas n’étant moi-même ni très inventif ni très fantaisiste et n’ayant pas ce goût qu’ont certains pour le détail. Pour que ma ville gagne en réalisme, il faudrait, d’une part, que j’introduise des zones à l’habitat mixte, des chantiers, des terrains vagues et des friches industrielles et, d’autre part, que j’affine chacun de mes bâtiments soit en expérimentant de nouveaux modes de construction soit en me servant plus originalement des pièces dont je dispose. J’avoue ne pas vraiment savoir comment m’y prendre mais, étant d’une nature optimiste, je ne désespère pas pour autant, me disant que mon perfectionnisme et ma persévérance finiront un jour par sauver ma ville bien-aimée de la médiocrité où elle végète aujourd’hui. Pour clore le chapitre de mes nouveaux quartiers, j’ajouterai que je construisis au sud-ouest un second grand ensemble constitué, pour sa part, d’un autre prototype d’immeuble d’habitation de treize étages (BH2), érigé en mode unidirectionnel et aux cages d’escaliers de couleur beige et légèrement proéminentes comme celles du prototype des quartiers du nord de la ville (BH3). Ayant eu pour ces immeubles davantage de pièces à ma disposition, j’en construisis un nombre plus important et leur fis remplacer la vingtaine de barres datant de 2013 (BH1) que je n’aimais plus du tout, leur trouvant des lignes trop grossières et des couleurs trop tapageuses alors que je leur avais décerné la médaille de bronze de la réalisation la plus réussie l’année de leur création. La majorité de ces immeubles se dressait dans le sud-est de la ville, entre le Conseil d’état et l’Académie des beaux-arts et je profitai de leur éviction pour planifier le gigantesque Musée des sciences et des techniques que je construisis en style classique, disposant d’une ultime poignée de briques grises à colonne latérale.

Enfin, comme il me restait tout un lot de briques gris foncé qui ne me servait à rien, je construisis la veille du salon du jeu en m’inspirant de la tour Sears à Chicago le plus haut gratte-ciel de Microville le faisant culminer à 610 mètres, élévation qu’il conserva jusqu’en 2020 où il repassa à 440 mètres après un complet remodelage dont je parlerai ultérieurement. Il figurait alors au troisième rang mondial des plus hauts gratte-ciels après la tour Califat aux Émirats et le Centre International des Affaires à Shanghaï.

Mes cours à l’université du temps libre s’étant achevés cet automne-là au tout début du mois de décembre, je me remis au travail et parvins à bâtir les huit plaques restantes avant la Noël, faisant passer la superficie de ma ville à 9,2 m² comme je l’avais envisagé au début de l’année. Les tous nouveaux quartiers vinrent se greffer cette fois-ci au sud de ma ville. J’étendis au sud-ouest le grand ensemble que j’avais commencé deux mois auparavant et lui adjoignit un palais des expositions inspiré de celui de Rostock où je venais de présenter ma maquette lors du Salon du jeu et des activités ludiques. Au sud, à proximité des voies ferrées menant à la gare du Midi, je construisis une nouvelle zone industrielle dont la pièce maîtresse fut une troisième centrale électrique fortement inspirée, puisque je la trouvais réussie, de celle que j’avais érigée au mois d’octobre à l’ouest de la ville. À l’est de cette zone industrielle, je construisis un nouveau lotissement constitué d’une vingtaine de tours grises et bordeaux de type TH2 et les fit se dresser autour d’un parc de cinq hectares. M’étant à ce jour toujours concentré sur le bâti, mes espaces verts sont tous de très petite taille. À titre de comparaison, le Jardin public à Bordeaux s’étend sur 10 hectares, le parc Zariadié à Moscou sur 13 hectares, le parc Borély à Marseille sur 17 hectares, le jardin du Luxembourg à Paris sur 22 hectares et le parc Saint-Jacques à Londres sur 23 hectares et encore ne s’agit-il là que d’espaces verts de taille très modeste comparés aux géants que sont le bois de Boulogne à Paris, le parc de la Tête d’or à Lyon, le Jardin animalier à Berlin, le parc Lazienki à Varsovie, le bois de Városliget à Budapest ou le parc de la Culture à Moscou qui s’étendent tous sur plus d’un kilomètre carré (soit plus de cent hectares). Quand au Parc municipal de Manhattan, il recouvre à lui seul 3,5 km2, soit presque le tiers de la superficie actuelle de ma ville.

Enfin, au sud-est, je fis reculer de 400 mètres le Conseil d’état, comme je l’avais fait une première fois en 2014, pour qu’il continuât d’être le point d’aboutissement de l’avenue de la République que je venais d’agrandir d’autant. Je bâtis en outre la foire internationale constituée de plusieurs pavillons et d’un hôtel néoclassique stalinien inspiré de l’hôtel Léningrad à Moscou. Je disposai tous ces pavillons de part et d’autre d’une longue promenade piétonnière au dallage gris et blanc qui continue de me plaire aujourd’hui. Une fois terminés ces nouveaux travaux d’agrandissements, je m’aperçus en consultant mon petit atlas historique, que ma ville, à ce jour, ne s’était jamais développée vers le nord, mais deux fois vers l’est en 2012 et 2015, deux fois vers l’ouest en 2016 et 2018 et quatre fois vers le sud en 2011, 2013, 2014 et 2018. Ce fut donc en me promettant que sa future extension se ferait impérativement vers le nord que je quittai la vieille année pour entrer dans la nouvelle. 

 

dimensions et réalisations en 2018

dimensions: 56 plaques soit 8,1 m²

réalisations:

- construction d’une nouvelle zone résidentielle à l’ouest de la ville

- introduction d'un nouveau type de tours d'habitation (TH3)

- introduction de deux nouveaux types de barres d’habitation (BH2 et BH3)

- destruction des anciennes barres d’habitation de type BH1

- agrandissement de la centrale électrique n°1 et construction de la centrale électrique n°2

- réfection et stabilisation des gratte-ciels art-déco

- reconstruction de plusieurs gratte-ciels staliniens (hôtel de ville, préfecture de police, Grand hôtel,

  Conseil d’état, Archives nationales, siège de la Télévision nationale et deux ministères)

- construction du gratte-ciel de la SAG (Société des Assurances Générales) s’inspirant de la tour Sears à Chicago

  et culminant à 610 mètres, de la tour Empire s’inspirant du gratte-ciel du même nom à la Nouvelle-Yorque et

  de gratte-ciels s’inspirant de la Torre Cepsa à Madrid

- construction du musée des sciences et des techniques

- rehaussement des immeubles de 5 étages

- pavage du parvis de la cathédrale

- reconstruction des écoles, des centres multiservices, des maisons de retraite et des supermarchés

 

constructions préférées en 2018

médaille d'or: gratte-ciels inspirés de la tour Cepsa à Madrid

médaille d'argent: tour Empire inspiré de la tour du même nom à la Nouvelle-Yorque

médaille de bronze: barres d'habitation de type BH3

 

acquisition de nouvelles pièces en 2018

(en dehors des briques les plus traditionnelles)

minibriques vert kaki, bleu foncé et bordeaux (1x2x0,3)

Je m’en servis pour les bandes latérales de mes centrales électriques et pour certains de mes immeubles d’habitation.

briques vert kaki, bleu foncé et bordeaux (1x2x1)

Elles me plaisaient bien mais je ne m’en servis que l'année suivante pour construire de nouvelles tours d'habitation de type TH2.

toits incurvés vert kaki clair

Ils me servirent à construire les dépôts ferroviaires de la gare de l’Ouest et à rénover les hangars de l’aéroport.

briques bidirectionnelles gris clair (1x1x1) et (1x4x1)

Je m’en servis pour la reconstruction de tous les bâtiments publics (groupes scolaires, maisons de retraire, centres multiservices) et pour tous les immeubles érigés en mode multidirectionnel.

briques courbes blanches (2x2x1)

Je m’en servis pour construire les réservoirs de kérosène de l’aéroport.

dalles blanches et vert kaki pâle de différentes dimensions

Je m’en servis pour couvrir certains immeubles.

balustrades noires à claire-voie (1x4x0,7)

Je m’en servis pour reconstruire certains ponts franchissant les voies de chemin de fer.

coupoles applaties noires et grises (4x4x0,3)

Je m’en servis pour construire la voûte des salles plénières et, l’année suivante, pour couvrir les gazomètres de la zone portuaire.